Pour fêter les 14 ans du blog, je vous proposais de gagner le magnifique roman de Pierre Chavagné, La Femme Paradis aux éditions Le Mot et le Reste :
Quatrième de couverture :
Coupée de la civilisation depuis plusieurs années, une femme sans passé survit au cœur de la forêt. Elle a apprivoisé les règles du monde sauvage pour mener une vie faite de pêche, de maraîchage et de méditation, où le sang n’est jamais versé en vain.
Son existence spartiate et harmonieuse est bouleversée lorsqu’un coup de feu claque sur le causse. Cette détonation précipitera une série d’événements implacables questionnant les forces qui l’ont amenée à choisir l’exil, la place qu’elle occupe dans le monde des hommes, et la trace qu’elle souhaite y laisser.
Se jouant habilement de la mince frontière qui sépare le désir de la raison, ce texte vif et cinglant ébranle nos certitudes. Que sauver quand tout s’effondre ?
La question était : Un des romans de Pierre Chavagné porte le même titre qu’un film de Ridley Scott. Quel en est le titre ?
La réponse est : Les duellistes
Le nom de gagnant est : Alain
Félicitations !
Je n’ai plus qu’à ajouter : Merci à tous, à bientôt et plus que jamais, n’oubliez pas le principal : protégez-vous, protégez les autres et lisez !
Dire que j’avais oublié de fêter l’anniversaire du blog !
Ça y est, Black Novel est un grand adolescent avec ses 14 années d’existence depuis le 1er mai. Si vous êtes surpris, sachez que je le suis plus que vous ! Je le dis chaque année, quand je me suis lancé dans cette aventure, car c’en est une, je n’aurais jamais imaginé durer aussi longtemps. Aujourd’hui, avec plus de 1770 billets, je n’en reviens toujours pas.
Sachez que l’envie de partager mes avis, mes lectures est toujours aussi grande. Et je tiens à vous remercier, vous lecteur de passage, et vous abonné et lecteur fidèle. Merci pour votre assiduité, pour vos commentaires, pour vos encouragements. Merci aussi aux auteurs avant tout, qui nous offrent tant d’émotions. Merci aux éditeurs qui me font confiance, aux attachés de presse qui pensent à moi. Merci aussi aux amis qui me guident dans mes choix.
Enfin, j’envoie un gros bisou à mon frère du sud, la Petite Souris. Je n’oublie pas mes amis Yvan, Vincent, et Jean le Belge. J’adresse un grand merci à tous les collègues blogueurs qui m’aident dans mes choix de lecture. Je fais aussi un clin d’œil à l’association 813 qui défend la littérature policière sous toutes ses formes et que je vous conseille de rejoindre.
A vous de travailler maintenant ! Un anniversaire, ce n’est pas un anniversaire s’il n’y a pas de cadeau. Comme tous les ans, je vous propose de gagner un de mes coups de cœur de l’année. Cette année, il s’agira de La femme Paradis de Pierre Chavagné publié aux éditions Le Mot et le Reste, un roman magnifique dont vous pouvez retrouver mon avis ici
Quatrième de couverture :
Coupée de la civilisation depuis plusieurs années, une femme sans passé survit au cœur de la forêt. Elle a apprivoisé les règles du monde sauvage pour mener une vie faite de pêche, de maraîchage et de méditation, où le sang n’est jamais versé en vain.
Son existence spartiate et harmonieuse est bouleversée lorsqu’un coup de feu claque sur le causse. Cette détonation précipitera une série d’événements implacables questionnant les forces qui l’ont amenée à choisir l’exil, la place qu’elle occupe dans le monde des hommes, et la trace qu’elle souhaite y laisser.
Se jouant habilement de la mince frontière qui sépare le désir de la raison, ce texte vif et cinglant ébranle nos certitudes. Que sauver quand tout s’effondre ?
Le principe est simple : vous répondez à une question en envoyant un mail à concoursblacknovel@gmail.com. Le ou la gagnante sera contacté (e) par mail pour que j’obtienne son adresse postale. La date limite de réponse est le 19 mai 2023 à minuit. Le 20 mai, un billet donnera le nom du gagnant (ou son pseudo). Le tirage au sort sera réalisé par mes enfants. Le roman est acheté par moi-même. L’envoi sera assuré par mes soins en fonction de l’assiduité de La Poste. Aucune réclamation ne sera acceptée, ce concours étant totalement bénévole.
La question est la suivante : Un des romans de Pierre Chavagné porte le même titre qu’un film de Ridley Scott. Quel en est le titre ?
J’espère que vous prendrez du plaisir à lire, que mes chroniques vous seront utiles pour vos choix de lecture, que vous n’hésiterez pas à me donner vos avis dans les commentaires. Je vous souhaite une nouvelle année pleine de lectures enrichissantes. Car moi, je continue …
Je n’ai plus qu’à ajouter : Merci à tous, à bientôt et plus que jamais, protégez-vous, protégez les autres et n’oubliez pas le principal : lisez !
Pour fêter les 13 ans du blog, je vous proposais de gagner non pas un roman, mais une trilogie complète, trois romans narrant la chute de Sarkozy et l’arrivée de Hollande, sur fond de prostitution enfantine et de pédophilie, écrite par Benjamin Dierstein :
La sirène qui fume :
Mars 2011. Le capitaine Gabriel Prigent débarque à la brigade criminelle de Paris après avoir vécu un drame à Rennes. Obsédé par l’éthique, il croise sur son chemin le lieutenant Christian Kertesz de la brigade de répression du proxénétisme, compromis avec la mafia corse et et tourmenté par un amour perdu.
La défaite des idoles :
Pris en étau entre une cellule de la DCRI qui cherche à sauver la peau des sarkozystes et d’anciens barons de la Mitterrandie qui oeuvrent pour le retour de la gauche au pouvoir, Kertesz et Verhaeghen vont se livrer un duel à mort au cœur de la corruption moderne.
La cour des mirages :
Un polar addictif, politique et explosif
Juin 2012. Triomphe politique pour la gauche et gueule de bois pour la droite. Les têtes tombent. Les purges anti-sarkozystes au sein du ministère de l’Intérieur commencent. La commandante Laurence Verhaeghen quitte la DCRI et rallie la Brigade criminelle de Paris. Elle est rapidement rejointe par son ancien collègue Gabriel Prigent, hanté par la disparition de sa fille six ans plus tôt.
Pour leur retour au 36, les deux flics écopent d’une scène de crime sauvage : un ancien cadre politique a tué sa femme et son fils avant de se suicider. L’enquête débouche sur la découverte de réseaux puissants, à mi-chemin entre l’organisation pédo-criminelle, la prostitution de luxe et l’évasion fiscale. Désabusés par leurs erreurs et leurs doutes, tourmentés par leurs obsessions, Verhaeghen et Prigent vont partir pour un voyage sans retour vers la barbarie moderne.
Dans la lignée de David Peace ou James Ellroy, une complainte noire et désespérée en forme de descente aux enfers.
La question était : Outre sa trilogie, Benjamin Dierstein a écrit un roman comique. Quel en est le titre ?
La réponse est : Un dernier ballon pour la route
Le nom de gagnant est : Yannick Goicoechéa
Félicitations !
Je n’ai plus qu’à ajouter : Merci à tous, à bientôt et plus que jamais, n’oubliez pas le principal : protégez-vous, protégez les autres et lisez !
Ça y est, Black Novel entre dans l’adolescence et fête ses 13 années d’existence en ce 1er mai. Si vous êtes surpris, sachez que je le suis plus que vous ! Je le dis chaque année, quand je me suis lancé dans cette aventure, car c’en est une, je n’aurais jamais imaginé durer aussi longtemps. Aujourd’hui, avec plus de 1600 billets, je n’en reviens toujours pas.
Et que vous soyez fidèle ou simple visiteur passager, je vous remercie de lire mes avis, mes élucubrations, et surtout n’hésitez pas à me laisser vos avis, qu’ils aillent dans mon sens ou pas. Je respecte tous les avis, puisque je considère qu’une lecture c’est une rencontre entre un livre et son lecteur. Et dans les rencontres, certaines sont réussies, d’autres pas.
Sachez que l’envie de partager mes avis, mes lectures est toujours aussi grande. Et je tiens à vous remercier, vous lecteur de passage, et vous abonné et lecteur fidèle. Merci pour votre assiduité, pour vos commentaires, pour vos encouragements. Merci aussi aux auteurs avant tout, qui nous offrent tant d’émotions. Merci aux éditeurs qui me font confiance, aux attachés de presse qui pensent à moi. Merci aussi aux amis qui me guident dans mes choix.
Enfin, j’envoie un gros bisou à mon frère du sud, la Petite Souris. Je n’oublie pas mes amis Yvan, Vincent, et Jean le Belge. J’adresse un grand merci à tous les collègues blogueurs qui m’aident dans mes choix de lecture. Je fais aussi un clin d’œil à l’association 813 qui défend la littérature policière sous toutes ses formes et que je vous conseille de rejoindre.
A vous de travailler maintenant ! Un anniversaire, ce n’est pas un anniversaire s’il n’y a pas de cadeau. Cette année, ce ne sera pas un, mais trois romans à gagner, comme l’année dernière. Il s’agit de la trilogie de Benjamin Dierstein, trois polars noirs indispensables, qui m’ont fait découvrir une nouvelle voix du polar français. A travers ces trois romans, l’auteur dissèque la chute de Sarkozy et l’arrivée au pouvoir de Hollande.
Je vous propose donc de remporter La sirène qui fume, La défaite des idoles et La cour des mirages
La sirène qui fume :
Mars 2011. Une série de meurtres de prostituées mineures ébranle la PJ parisienne. Fraîchement muté au 36, le capitaine Gabriel Prigent, hanté par son passé et sa soif de justice, est bien décidé à découvrir la vérité, quitte à faire tomber des têtes. D’autant que cette affaire semble avoir un lien avec son pire ennemi, le lieutenant Christian Kertesz, compromis dans un business juteux. Entre tourments intérieurs et obsessions dévorantes, la quête de la vérité ne les laissera pas indemnes. Car dans le jeu de la rivalité, Prigent et Kertesz courent à leur perte.
À six mois des élections de 2012, l’UMP et le PS se livrent un combat sans merci pour le pouvoir suprême. Alors qu’elle enquête sur un meurtre, Laurence Verhaeghen, capitaine à la Crim de Paris et sarkozyste convaincue, retrouve la trace d’une ancienne gloire des Stups, Christian Kertesz. Ce flic déchu travaille pour des mafieux corses et verse parfois dans l’espionnage industriel. Entre ces deux-là, s’engage un duel à mort au cœur de la corruption moderne.
Juin 2012. Triomphe politique pour la gauche et gueule de bois pour la droite. Les têtes tombent. Les purges anti-sarkozystes au sein du ministère de l’Intérieur commencent. La commandante Laurence Verhaeghen quitte la DCRI et rallie la Brigade criminelle de Paris. Elle est rapidement rejointe par son ancien collègue Gabriel Prigent, hanté par la disparition de sa fille six ans plus tôt.
Pour leur retour au 36, les deux flics écopent d’une scène de crime sauvage : un ancien cadre politique a tué sa femme et son fils avant de se suicider. L’enquête débouche sur la découverte de réseaux puissants, à mi-chemin entre l’organisation pédocriminelle, la prostitution de luxe et l’évasion fiscale. Désabusés par leurs erreurs et leurs doutes, tourmentés par leurs obsessions,
Verhaeghen et Prigent vont partir pour un voyage sans retour vers la barbarie moderne.
Dans la lignée de David Peace ou James Ellroy, une complainte noire et désespérée en forme de descente aux enfers.
Le principe est simple : vous répondez à une question en envoyant un mail à concoursblacknovel@gmail.com. Le ou la gagnante sera contacté (e) par mail pour que j’obtienne son adresse postale. La date limite de réponse est le 12 mai 2021 à minuit. Le 13 mai, un billet donnera le nom du gagnant (ou son pseudo). Le tirage au sort sera réalisé par mes enfants. Les romans sont achetés par moi-même. L’envoi sera assuré par mes soins en fonction de l’assiduité de La Poste. Aucune réclamation ne sera acceptée, ce concours étant totalement bénévole.
La question est la suivante : Outre sa trilogie, Benjamin Dierstein a écrit un autre roman. Quel en est le titre ?
J’espère que vous prendrez du plaisir à lire, que mes chroniques vous seront utiles pour vos choix de lecture, que vous n’hésiterez pas à me donner vos avis dans les commentaires. Je vous souhaite une nouvelle année pleine de lectures enrichissantes. Car moi, je continue …
Je n’ai plus qu’à ajouter : Merci à tous, à bientôt et plus que jamais, n’oubliez pas le principal : lisez !
Editeur : Editions du Horsain (Format Papier); Ska (Format électronique)
Je connais surtout Franck Membribe pour ses nouvelles, certaines étant éditées en lecture électronique chez Ska. Après Reflux, il nous propose un voyage à Cuba très réussi par son évocation et qui me rappelle tant de bons souvenirs.
En cette fin 2008, Vincent débarque à l’aéroport José Marti de la Havane. Au lieu du ciel bleu promis, il arrive sous un orage, ce qui est toujours mieux que le brouillard qu’i a quitté à Paris. Hervé son compagnon de voyage l’invite à manger. Les deux hommes sont venus pour auditer des musiciens et leur faire signer un contrat au profit de leur maison de disques. A la veille de la fête pour le cinquantenaire de la Révolution Cubaine, ils devraient trouver leur bonheur.
Arrivés à l’hôtel Trip Habana Libre, Hervé et Vincent font un point sur la situation de leur société de téléchargement de musique. Il leur faut trouver de nouveaux noms, surprendre le public s’ils veulent survivre. Puis Hervé reçoit un SMS lui apprenant que son audience pour son divorce est avancée au 4 janvier. Son ex-femme n’en finira donc pas de le faire chier. Il ne leur reste que quatre jours pour trouver la perle rare.
Après quelques heures de sieste, les voilà partis pour La Casa de la Musica, où ils vont écouter un trio de cubains. Puis, évitant les bars à touristes, ils arrivent à La Bodega Inomada où ils discutent d’un contrat et où Hervé leur fait une démonstration au piano. L’alcool coule à flot avant que Hervé fasse un scandale et parte de cette soirée de réveillon. Le lendemain, Vincent qui a rejoint son hôtel dans la nuit, se lève avec un mal de tête obsédant. Il n’a pas de nouvelles de son ami et s’aperçoit même qu’il a disparu. La convocation à la police va lui apprendre une nouvelle beaucoup plus dramatique.
L’auteur prend son temps pour présenter ses personnages et surtout pour nous glisser dans la peau de touristes. Et petit à petit, l’histoire va se dérouler et les événements nous montrer ce qu’est (ou ce que fut) la vie à Cuba, celle des touristes et celle des cubains. Alors, autant vous le dire, l’enquête de Vincent va avancer étape par étape et ceux qui cherchent de l’action sont priés de passer leur chemin. Car l’intérêt de ce roman là est ailleurs.
Sans en avoir l’air, de façon remarquablement subtile, Franck Membribe montre sans fioritures et sans excès la séparation qu’il y avait entre les touristes et la vie cubaine. Il valait mieux pour les étrangers ne pas sortir des zones balisées, surtout à La Havane. Et quand vous parliez à des gens, personne ne critiquait le régime en place, et tous sortaient le même discours de l’école et la médecine gratuite.
Pourquoi en parlé-je au passé ? Parce que ma femme et moi sommes allés là-bas, le siècle dernier. Parce que nous avons vu l’écart entre la vie citadine et la vie paysanne. Effectivement, nous avons arpenté les bars à touristes, nous sommes baladés dans les avenues à la Havane. Et puis, nous avons eu droit à une après-midi dans un petit village de pêcheurs. Là, nous étions libres de nous balader.
Une famille de Cubains nous a invités à prendre le café, à manger leurs biscuits. Ils étaient heureux de nous accueillir (et nous ne parlions pas espagnol !) ; ils étaient fiers de nous montrer leurs meubles, de formidables commodes ou armoires en bois brut, qui, chez nous, vaudraient une fortune. Ils nous ont raconté (en mimant) leur vie, sans critiquer le gouvernement, ni le louer, juste en montrant tant de bienveillance. Dans ces moments-là, nous ne pouvions faire qu’une chose : leur montrer notre respect.
Voilà tout ce que m’a apporté ce roman, une bouffée de nostalgie, un film retraçant un des meilleurs moments de vacances que j’ai connu. Franck Membribe nous présente des personnages vrais, des situations réalistes sans en rajouter. En un peu plus de 200 pages, il nous plonge dans le vrai Cuba et cela rend ce roman bigrement attachant. Avis aux lecteurs avides de voyages dépaysants.
Pour fêter les 12 ans du blog, je vous proposais de gagner non pas un roman, mais une trilogie complète, trois romans narrant la vie de Sean Duffy en Irlande du Nord au début des années 80, écrite par Adrian McKinty :
Une terre si froide :
1981, Irlande du Nord. Bobby Sands vient de mourir. Le pays est sous haute tension, Belfast à feu et à sang. A Carrickfergus, deux homosexuels sont tués, main gauche arrachée. La piste d’un serial killer semble évidente. Mais le sergent Sean Duffy sait que les apparences sont souvent trompeuses, lui qui incarne un paradoxe en Ulster : il est flic et catholique. McKinty réussit le pari de faire vivre la violence de la guerre civile en même temps qu’il nous entraîne au cœur d’une enquête palpitante, maniée avec l’humour noir si cher aux Irlandais.
Dans la rue j’entends les sirènes :
Quelque part, dans l’hémisphère Sud, la guerre des Malouines commence. En Ulster, en ce début des années 1980, il est toujours aussi difficile d’être flic et catholique. Mais rien qui puisse troubler Sean Duffy, habitué à vérifier tous les matins si sa voiture n’a pas été piégée. Quand on lui demande de trouver à qui appartient un torse abandonné dans une valise sous le hangar d’une usine désaffectée, c’est un simple tatouage qui permet à l’inspecteur de suivre le fil rouge qui lie ordinairement un corps à son meurtrier. Des rues sous haute tension de Belfast à la lande irlandaise, où un capitaine de l’armée britannique a été abattu dans sa ferme, Duffy ne laisse aucune piste au hasard et ne se départ jamais de son sens de l’humour, même dans les moments de plus grand doute.
Ne me cherche pas demain :
Carrickfergus, près de Belfast, septembre 1983, en plein conflit nord-irlandais. L’inspecteur Sean Duffy, l’un des rares catholiques au sein du RUC, la police royale d’Ulster, est radié sur la base de fausses accusations. Au même moment, Dermot McCann, un habile poseur de bombes et ancien camarade de classe de Duffy, s’évade de prison et devient la cible principale des services de renseignement britanniques. Le MI5 extirpe Duffy de sa retraite alcoolisée afin que ce dernier les aide à traquer McCann. Mais pour obtenir des informations sur la cachette du fugitif, l’ex-inspecteur doit d’abord résoudre un meurtre en chambre close. Sa quête va finalement le conduire à Brighton où se trame une tentative d’assassinat sur le Premier Ministre Britannique, Margaret Thatcher.
La question était : Dans quel quartier travaille l’inspecteur Sean Duffy ?
La réponse est : Carrickfergus
Le nom de gagnant est : Ludivine.
Félicitations !
Je n’ai plus qu’à ajouter : Merci à tous, à bientôt et plus que jamais, n’oubliez pas le principal : protégez-vous, protégez les autres et lisez !
Eh oui, Black Novel fête ses 12 années d’existence en ce 1er mai. Si vous êtes surpris, sachez que je le suis plus que vous ! Je le dis chaque année, quand je me suis lancé dans cette aventure, car c’en est une, je n’aurais jamais imaginé durer aussi longtemps. Aujourd’hui, avec plus de 1500 billets, je n’en reviens toujours pas.
Et que vous soyez fidèle ou simple visiteur passager, je vous remercie de lire mes avis, mes élucubrations, et surtout n’hésitez pas à me laisser vos avis, qu’ils aillent dans mon sens ou pas. Je respecte tous les avis, puisque je considère qu’une lecture c’est une rencontre entre un livre et son lecteur. Et dans les rencontres, certaines sont réussies, d’autres pas.
Sachez que l’envie de partager mes avis, mes lectures est toujours aussi grande. Et je tiens à vous remercier, vous lecteur de passage, et vous abonné et lecteur fidèle. Merci pour votre assiduité, pour vos commentaires, pour vos encouragements. Merci aussi aux auteurs avant tout, qui nous offrent tant d’émotions. Merci aux éditeurs qui me font confiance, aux attachés de presse qui pensent à moi. Merci aussi aux amis qui me guident dans mes choix.
Comme je le disais, animer un blog, c’est avant tout une question de plaisir. Outre le combat entre Bob Morane et l’Ombre Jaune, et la saga de la Compagnie des Glaces, et les enquêtes de Harry Bosch, continuer la découverte de Jean Meckert, je ne vais pas me lancer dans de nouveaux challenges cette année. Je vais juste, comme vous l’avez remarqué, me concentrer sur les éditions Gallmeister, qui vont occuper les rubriques Oldies mais aussi découvrir les romans italiens qu’ils éditent à partir de cette année. Et on en reparle très bientôt.
A vous de travailler maintenant ! Un anniversaire, ce n’est pas un anniversaire s’il n’y a pas de cadeau. Cette année, ce ne sera pas un mais trois romans à gagner, la première trilogie Sean Duffy de Adrian McKinty, trois polars indispensables. De quoi se plonger dans l’histoire de l’Irlande du Nord à travers un inspecteur catholique dans les années 80. Je vous propose donc Une terre si froide, Dans la rue j’entends les sirènes et Ne me cherche pas demain.
Une terre si froide :
1981, Irlande du Nord. Bobby Sands vient de mourir. Le pays est sous haute tension, Belfast à feu et à sang. A Carrickfergus, deux homosexuels sont tués, main gauche arrachée. La piste d’un serial killer semble évidente. Mais le sergent Sean Duffy sait que les apparences sont souvent trompeuses, lui qui incarne un paradoxe en Ulster : il est flic et catholique. McKinty réussit le pari de faire vivre la violence de la guerre civile en même temps qu’il nous entraîne au cœur d’une enquête palpitante, maniée avec l’humour noir si cher aux Irlandais.
Quelque part, dans l’hémisphère Sud, la guerre des Malouines commence. En Ulster, en ce début des années 1980, il est toujours aussi difficile d’être flic et catholique. Mais rien qui puisse troubler Sean Duffy, habitué à vérifier tous les matins si sa voiture n’a pas été piégée. Quand on lui demande de trouver à qui appartient un torse abandonné dans une valise sous le hangar d’une usine désaffectée, c’est un simple tatouage qui permet à l’inspecteur de suivre le fil rouge qui lie ordinairement un corps à son meurtrier. Des rues sous haute tension de Belfast à la lande irlandaise, où un capitaine de l’armée britannique a été abattu dans sa ferme, Duffy ne laisse aucune piste au hasard et ne se départ jamais de son sens de l’humour, même dans les moments de plus grand doute.
Carrickfergus, près de Belfast, septembre 1983, en plein conflit nord-irlandais. L’inspecteur Sean Duffy, l’un des rares catholiques au sein du RUC, la police royale d’Ulster, est radié sur la base de fausses accusations. Au même moment, Dermot McCann, un habile poseur de bombes et ancien camarade de classe de Duffy, s’évade de prison et devient la cible principale des services de renseignement britanniques. Le MI5 extirpe Duffy de sa retraite alcoolisée afin que ce dernier les aide à traquer McCann. Mais pour obtenir des informations sur la cachette du fugitif, l’ex-inspecteur doit d’abord résoudre un meurtre en chambre close. Sa quête va finalement le conduire à Brighton où se trame une tentative d’assassinat sur le Premier Ministre Britannique, Margaret Thatcher.
Mon avis arrive très bientôt !
Le principe est simple : vous répondez à une question en envoyant un mail à concoursblacknovel@gmail.com. Le ou la gagnante sera contacté (e) par mail pour que j’obtienne son adresse postale. La date limite de réponse est le 12 mai 2021 à minuit. Le 14 mai, un billet donnera le nom du gagnant (ou son pseudo). Le tirage au sort sera réalisé par mes enfants. Le roman est acheté par moi-même. L’envoi sera assuré par mes soins en fonction de l’assiduité de La Poste.
La question est la suivante : Dans quel quartier travaille l’inspecteur Sean Duffy ?
J’espère que vous prendrez du plaisir à lire, que mes chroniques vous seront utiles pour vos choix de lecture, que vous n’hésiterez pas à me donner vos avis dans les commentaires. Je vous souhaite une nouvelle année pleine de lectures enrichissantes. Car moi, je continue …
Je n’ai plus qu’à ajouter : Merci à tous, à bientôt et plus que jamais, n’oubliez pas le principal : lisez !
Eh oui, Black Novel fête ses 11 années d’existence en ce 1er mai. Si vous êtes surpris, sachez que je le suis plus que vous ! Je le dis chaque année, quand je me suis lancé dans cette aventure, car c’en est une, je n’aurais jamais imaginé durer aussi longtemps. Et que vous soyez fidèle ou simple visiteur passager, je vous remercie de lire mes avis, mes élucubrations, et surtout n’hésitez pas à me laisser vos avis, qu’ils soient du mien ou pas. Je respecte tous les avis, puisque je considère qu’une lecture c’est une rencontre entre un livre et son lecteur. Et dans les rencontres, certaines sont réussies, d’autres pas.
Sachez que l’envie de partager mes avis, mes lectures est toujours aussi grand. Et je tiens à vous remercier, vous lecteur de passage, ou vous abonné et lecteur fidèle. Merci pour votre assiduité, pour vos commentaires, pour vos encouragements. Merci aussi aux auteurs avant tout, qui nous offrent tant d’émotions. Merci aux éditeurs qui me font confiance, aux attachés de presse qui pensent à moi. Merci aussi aux amis et collègues blogueurs qui me guident dans mes choix, et à mes amis (en particulier les Pieds Nickelés du Polar qui se reconnaîtront qui sont comme des frères pour moi).
Enfin, j’envoie un gros bisou à mon frère du sud, la Petite Souris. Je n’oublie pas mes amis Yvan, Vincent, et Jean le Belge. J’adresse un grand merci à tous les blogueurs qui m’aident dans mes choix de lecture. Je fais aussi un clin d’œil à l’association 813 qui défend la littérature sous toutes ses formes et que je vous conseille de rejoindre.
Comme je le disais, animer un blog, c’est avant tout une question de plaisir. Outre le combat entre Bob Morane et l’Ombre Jaune, et la saga de la Compagnie des Glaces, j’ai décidé de me lancer dans deux nouveaux défis. Le premier, c’est de lire la trilogie de l’inspecteur Sadorski de Romain Slocombe. Le deuxième m’est venu pendant que je regardais la série Bosch, que j’aime beaucoup pour sa rigueur. J’ai donc décidé de lire (ou relire) les romans de Michaël Connelly dédiés à l’inspecteur Harry Bosch dans l’ordre. Et ça commencera dès le mois de mai ! Comme vous le voyez, je ne manque pas d’idées !
C’est en 1947 que Jean Meckert publie Nous avons les mains rouges. Quatre mois avant Sartre, il s’attaque à la Résistance et à l’épuration qui a accompagné la Libération. De quoi parle ce roman noir et puissant ? Laurent Lavalette est embauché dans la scierie de d’Essartaut, un veuf qui vit dans les montagnes avec ses deux filles et un homme à tout faire, Armand. Laurent apprend vite que le patriarche est à la tête d’un réseau de résistants qui n’a pas déposé les armes et qui, régulièrement, organise des expéditions pour punir ceux qui se sont enrichis durant la guerre tandis que d’autres se battaient. Malgré les réticences de Laurent à s’engager dans des mesures expéditives, il prête cependant parfois main forte. Pour ses partisans qui n’ont pas mesuré leurs efforts durant la Guerre, la Libération a un goût amer, elle ne tient pas ses promesses d’égalité, de justice et de grand chambardement. Toutefois cette lutte sanguinaire laisse Laurent perplexe : « Laurent se demanda un moment en quoi cette doctrine différait du fascisme contre lequel ces résistants avaient combattu. » Comme dans la plupart des romans de Meckert, le protagoniste de Nous avons les mains rouges est cet homme droit mais seul, réfractaire aux embrigadements de tout genre. Passionnant document sur un moment d’Histoire trouble et peu visité, ce roman est dans le même mouvement profondément humain. Présenté par Stéfanie Delestré et Hervé Delouche.
Le principe est simple : vous répondez à une question en envoyant un mail à concoursblacknovel@gmail.com. Le ou la gagnante sera contacté (e) par mail pour que j’obtienne son adresse postale. La date limite de réponse est le 11 mai 2020 à minuit. Le 12 mai, un billet donnera le nom du gagnant (ou son pseudo). Le tirage au sort sera réalisé par mes enfants. Le roman est acheté par moi-même. L’envoi sera assuré par mes soins en fonction du déconfinement et de l’assiduité de La Poste.
La question est la suivante : Sous quel pseudonyme Jean Meckert a-t-il publié des polars chez Gallimard à la Série Noire ?
Deux réponses sont possibles et seront acceptées. Bonne chance !
J’espère que vous prendrez du plaisir à lire, que mes chroniques vous seront utiles pour vos choix de lecture, que vous n’hésiterez pas à me donner vos avis dans les commentaires. Je vous souhaite une nouvelle année pleine de lectures enrichissantes. Car moi, je continue …
Je n’ai plus qu’à ajouter : Merci à tous, à bientôt et plus que jamais, n’oubliez pas le principal : protégez les autres et lisez !
Cours de mathématiques : Après 9, que trouve-t-on ? 10 ! Bravo !
Eh oui, Black Novel fête ses 10 années d’existence en ce 1er mai. Si vous êtes surpris, sachez que je le suis plus que vous ! Je le dis chaque année, quand je me suis lancé dans cette aventure, car c’en est une, je n’aurais jamais imaginé durer aussi longtemps. Et que vous soyez fidèle ou simple visiteur passager, je vous remercie de lire mes avis, mes élucubrations, et surtout n’hésitez pas à me laisser vos avis, qu’ils soient du mien ou pas. Je respecte tous les avis, puisque je considère qu’une lecture c’est une rencontre un livre et son lecteur. Et dans les rencontres, certains sont réussies, d’autres pas.
Sachez que l’envie de partager mes avis, mes lectures est toujours aussi grand. Et je tiens à vous remercier, vous lecteur de passage, ou vous abonné et lecteur fidèle. Merci pour votre assiduité, pour vos commentaires, pour vos encouragements. Merci aussi aux auteurs avant tout, qui nous offrent tant d’émotions. Merci aux éditeurs qui me font confiance, aux attachés de presse qui pensent à moi. Merci aussi aux amis et collègues blogueurs qui me guident dans mes choix, et à mes amis (en particulier les Pieds Nickelés du Polar qui se reconnaîtront qui sont comme des frères pour moi).
L’animation d’un blog doit rester un plaisir, un amusement. Alors je me suis amusé à cibler Le roman que je préfère année après année, la règle du jeu étant 1 seul roman par an. Le choix a été très difficile, je peux vous le dire. Cela donne la liste des 10 romans suivants, avec un petit commentaire associé !
Enfin, comme l’année dernière, j’aimerais faire un clin d’œil au Grand Prix des Balais d’Or auquel je participe avec toujours autant de plaisir, qui me permet de découvrir de nouveaux auteurs et de rencontrer des gens passionnés et souriants. J’envoie un gros bisou à mon frère du sud, la Petite Souris. Je n’oublie pas mes amis Yvan, Vincent, et Jean le Belge. J’adresse un grand merci à tous les blogueurs qui m’aident dans mes choix de lecture. Je fais aussi un clin d’œil à l’association 813 qui défend la littérature sous toutes ses formes et que je vous conseille de rejoindre.
Un anniversaire, ce n’est pas un anniversaire s’il n’y a pas de cadeau. Cette année étant exceptionnelle, je vous propose de gagner les 10 romans coups de cœur que j’ai choisis et cités juste au-dessus. Vous ne rêvez pas : 10 romans à gagner, des lectures inoubliables que vous aimerez autant que moi … ou pas. Car chacun a sa propre sensibilité.
Le principe est simple : vous répondez à une question en envoyant un mail à concoursblacknovel@gmail.com. Le ou la gagnante sera contacté (e) par mail pour que j’obtienne son adresse postale. La date limite de réponse est le 11 mai 2019 à minuit. Le 12 mai, un billet donnera le nom du gagnant (ou son pseudo). Le tirage au sort sera réalisé par mes enfants. Les romans sont achetés par moi-même.
La question est la suivante : Quel est le titre et le nom de l’auteur de mon coup de cœur 2019 ?
J’espère que vous prendrez du plaisir à lire, que mes chroniques vous seront utiles pour vos choix de lecture, que vous n’hésiterez pas à me donner vos avis dans les commentaires. Je vous souhaite une nouvelle année pleine de lectures enrichissantes. Car moi, je continue …
Je n’ai plus qu’à ajouter : Merci à tous, à bientôt et n’oubliez pas le principal : lisez !
Rappelez-vous, dans les années 90, une série de films mettant en scène un tueur en série, racontait comment tuer une bande jeunes gens de façon horrible (et comique, moi, je trouvais ça comique !) les uns après les autres. Je ne parle pas d’Halloween de John Carpenter, mais de Vendredi 13 de Sean Cunningham. Je vous propose deux lectures qui peuvent entrer dans cette catégorie, avec des bases de sujet différentes.
Itinéraire d’une mort annoncée de Fabrice Barbeau
Editeur : Hugo & Cie
Auréolé d’un bandeau rouge annonçant un Coup de Cœur RTL, ce roman est passé entre mes mains car il fait partie de la sélection 2018 du Grand Prix des Balais d’Or. C’est un roman à suspense bien stressant.
Anthony est un jeune homme qui a tout perdu : son travail, sa femme, et même son compte en banque. Il quitte son appartement et se retrouve à la rue, cherchant un endroit à l’abri du froid pour dormir. Les premières nuits, il se fait dépouiller et tabasser. Sa chance réside dans Mélanie, une jeune policière qui décide de l’héberger pour lui redonner gout à la vie. Pour son anniversaire, elle lui fait une surprise : Réunir ses anciens amis dans une maison de campagne pour fêter son anniversaire.
Ce roman ne manque pas d’ambition : peindre le portrait d’un jeune homme qui a tout perdu, sur une base d’allers-retours entre passé et présent. Si le principe est connu, il est bien difficile à maîtriser. Le grand talent de l’auteur est bien de trouver tous les événements qui vont rendre cette histoire crédible et intéressante. Si le début du roman commence comme un roman psychologique, le rythme des événements augmente très vite pour créer une tension et un stress qui nous fait oublier de chercher le coupable.
Car les disparitions et les morts vont s’accumuler, et le roman se transformer en huis-clos de la mort. A la façon d’un Dix petits nègres, mais avec plus de violence, ce roman m’a surtout fait penser à la série Vendredi 13, qui était surtout comique par la façon de mettre en scène les meurtres. Même si j’ai deviné le nom du coupable assez tôt dans le roman, je dois dire que je me suis laissé prendre au jeu, surtout au nom de la nostalgie des films d’antan et parce que ce roman arrive à nous tenir en haleine sur plus de 300 pages. Ce qui prouve que ce roman est un bon divertissement.
Les lois du ciel de Grégoire Courtois
Editeur : Gallimard Folio
Conseillé par Coco, voilà un sujet bien glauque puisque le départ du roman est un voyage en classe transplantée ou classe verte d’une douzaine de gamins de CP, accompagnés de trois adultes. Ils ne partaient pas loin, tout juste une dizaine de kilomètres dans les bois. Les accompagnateurs étaient Frédéric Brun l’instituteur ainsi que deux mamans Sandra Rémy et Nathalie Amselle. Le premier chapitre se termine ainsi :
« Et voilà.
Les enfants étaient partis.
Et jamais ils ne reviendraient. »
Parmi les enfants, on trouve tous les caractères inhérents aux enfants de leur âge, qu’ils soient peureux, courageux, attentifs ou turbulents. Je dois dire qu’après le froid du premier chapitre, on en vient à s’intéresser à cette histoire pour comprendre. Et les mises en situation permettent de nous imprégner de ces psychologies, avant le drame, horrible comme il se doit qui va nous mettre en situation.
D’amusement, on passe à l’horreur de la mort de Fred et on continue à faire défiler les pages pour voir comment tous ces enfants vont connaitre leur fin irrémédiable. En tant que parent, je dois dire que cela met bien mal à l’aise, et en tant que lecteur, l’auteur nous interpelle clairement devant notre désir de voyeurisme. Et de divertissement amusant, on se retrouve avec ce genre de roman qui nous met mal à l’aise face à notre volonté d’en voir toujours plus.
Au bout du compte, ce petit roman (200 pages) en dit bien plus que d’autres de 400 pages, et s’avère une belle démonstration d’un voyeurisme malsain. Ce sera un roman difficile à oublier.
Ce blog a pour unique but de faire partager mes critiques de livres qui sont essentiellement des polars et romans noirs. Pour me contacter : pierre.faverolle@gmail.com